
Chaque année, le virus de l’influenza aviaire tue des millions d’oiseaux domestiques ou sauvage. Chacun à son rôle à jouer dans la prévention et pour lutter contre le virus.
La situation actuelle sur le territoire métropolitain a poussé le Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la souveraineté alimentaire à passer le niveau de risque à “ELEVÉ”
Le virus est transporté par les oiseaux sauvages et migrateurs. Un certain nombre de mesures sont à respecter pour lutter contre la propagation de l’influenza aviaire.
Oiseaux domestiques
Le passage au niveau de risque élevé rend obligatoire les mesures suivantes dans toutes les communes :
- Claustration ou protection par des filets des voilailles dans les basses-cours et petits élevages (moins de 50 oiseaux) ;
- Interdiction des rassemblements d’oiseaux (marchés, expositions, concours), sauf dérogations spécifiques pour les oiseaux de volière sans contact avec la faune sauvage et les pigeons ;
- Interdiction des compétitions de pigeons voyageurs jusqu’au 31 mars 2026.
Mesures à suivre pour les détenteurs non commerciaux de volailles et d’autres oiseaux captifs :
Faune sauvage
La transmission de virus influenza aviaire de l’animal à l’homme est un événement très rare. Mais cela peut survenir et avoir des conséquences graves pour la santé humaine.
Il est rappelé au public qu’en cas de découverte d’un oiseau mort :
- Il est impératif de ne pas toucher à l’animal ;
- Il faut avertir le service départemental de l’Office Français de la Biodiversité au 02 99 41 15 99 ou par mail au sd35@ofb.gouv.fr qui pourra organiser la collecte de l’animal en vue d’analyse (réseau SAGIR) ou d’élimination (communes via le service public d’équarrissage) ;
